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Acheter une imprimante 3D : comprendre la technologie pour faire le bon choix

Les bases à connaître avant d’acheter une imprimante 3D.



Acheter une imprimante 3D commence par comprendre son fonctionnement.

L’impression 3D, aussi appelée fabrication additive, est une technologie de production qui repose sur l’empilement progressif de couches de matière pour créer un objet physique en trois dimensions, à partir d’un modèle numérique. Contrairement aux méthodes de fabrication traditionnelles dites soustractives — comme le fraisage, le tournage ou la découpe laser — qui retirent de la matière d’un bloc brut pour façonner une pièce, la fabrication additive construit la pièce couche par couche, à partir de rien. Ce principe fondamental offre de nombreuses possibilités techniques et économiques : il permet notamment de réduire considérablement le gaspillage de matière, de raccourcir les chaînes de production, et de concevoir des objets aux géométries complexes, souvent irréalisables autrement. Ainsi, des structures internes en treillis, des formes organiques ou des canaux internes peuvent être intégrés directement dans les pièces imprimées, sans assemblage ultérieur. Cette capacité à matérialiser des formes personnalisées et complexes a ouvert de nouvelles perspectives dans des domaines variés, allant de la médecine personnalisée — avec des prothèses ou des implants sur mesure — à l’aéronautique, où la réduction de poids des composants est cruciale pour les performances.

Avant d’investir dans une imprimante 3D, il est indispensable de comprendre qu’il n’existe pas une seule, mais plusieurs technologies d’impression, chacune reposant sur des principes différents et adaptée à des usages spécifiques. Les trois principales sont : le FDM (Fused Deposition Modeling), la SLA (Stéréolithographie) et le SLS (Selective Laser Sintering). Le FDM, la technologie la plus couramment utilisée, fonctionne en extrudant un filament thermoplastique (généralement du PLA, de l’ABS ou du PETG) à travers une buse chauffée qui dépose la matière fondue sur le plateau d’impression selon un tracé défini par le fichier 3D. C’est une solution bon marché, relativement simple à utiliser et bien adaptée au prototypage rapide, à l’enseignement ou aux bricoleurs amateurs. Toutefois, elle présente certaines limites en termes de résolution de surface, de détails fins et de résistance mécanique, surtout lorsque les pièces sont orientées dans des directions spécifiques sensibles à la délamination.

À l’opposé, la technologie SLA utilise un tout autre procédé : une résine photosensible liquide est durcie localement par l’action d’un rayon laser ou d’un projecteur UV, qui solidifie précisément chaque couche. Le résultat est une pièce d’une très grande précision, avec une finition de surface lisse et des détails fins remarquables. Ce procédé est donc particulièrement adapté aux applications nécessitant un haut niveau de fidélité géométrique, comme en dentisterie, en bijouterie, en modélisme ou encore pour la fabrication de moules de précision. Cependant, les pièces imprimées en SLA restent relativement fragiles, et les résines utilisées peuvent être coûteuses, toxiques et nécessitent un post-traitement rigoureux (lavage, polymérisation supplémentaire aux UV).

Le SLS, quant à lui, utilise une poudre — généralement en nylon, en TPU ou même en métal dans les versions industrielles — qui est fusionnée point par point à l’aide d’un laser puissant. Chaque couche est formée par le frittage de la poudre dans les zones définies par le modèle, tandis que le reste de la poudre agit comme un support naturel, ce qui élimine la nécessité de structures de soutien. Cela permet de produire des pièces mécaniquement robustes, fonctionnelles, parfois articulées, et adaptées à des conditions réelles d’utilisation. Le SLS est largement utilisé dans l’ingénierie, la robotique, et la fabrication de petites séries ou de pièces finales. Toutefois, ce procédé nécessite un environnement contrôlé, un équipement onéreux, et une gestion fine des matériaux non frittés, qui peuvent se dégrader au fil des cycles de production.

En somme, choisir une imprimante 3D ne peut se faire sans une connaissance approfondie des spécificités techniques de chaque technologie. Le prix d’achat, les matériaux compatibles, la qualité d’impression, la vitesse de fabrication, les contraintes de post-traitement et l’objectif final doivent tous être pris en compte dans l’évaluation. Par exemple, un laboratoire de design orienté vers la production de prototypes conceptuels rapides et visuellement convaincants pourrait privilégier la SLA, tandis qu’un atelier de prototypage mécanique ou de production de pièces fonctionnelles optera plutôt pour le SLS ou une FDM industrielle avec chambre chauffée. À l’inverse, un particulier souhaitant imprimer des objets utilitaires ou décoratifs trouvera dans une imprimante FDM de bureau une solution abordable et polyvalente.

D’un point de vue historique, il convient de rappeler que les premières formes de fabrication additive sont apparues dans les années 1980, avec notamment le dépôt du brevet de la stéréolithographie par Charles Hull en 1986. Depuis, l’évolution technologique, la démocratisation des équipements et la diversification des matériaux ont transformé l’impression 3D en une véritable révolution industrielle, comparable à celle de l’ordinateur personnel dans les années 1990. Cette progression continue s’accompagne d’innovations constantes : nouveaux matériaux composites, bioprinting, fabrication multi-matériaux, automatisation du post-traitement, intelligence artificielle pour l’optimisation topologique, etc.

Ainsi, bien au-delà de l’acte d’acheter une imprimante, il s’agit d’entrer dans une logique de fabrication nouvelle, qui redéfinit les notions de conception, de production et même de consommation. La connaissance des technologies existantes, de leurs forces et de leurs limites, constitue la première étape pour s’approprier efficacement cet outil au potentiel immense.

L’évolution des imprimantes 3D grand public justifie leur popularité.



L’accessibilité croissante, les prix en baisse et les logiciels de plus en plus conviviaux rendent l’acte d’acheter une imprimante 3D pertinent pour de nombreux utilisateurs, du particulier au professionnel.

Pendant longtemps, l'impression 3D est restée confinée aux laboratoires de recherche, aux services de R&D des grandes entreprises industrielles, et aux universités techniques. Ces équipements, souvent coûteux et complexes à manipuler, étaient destinés à un public restreint, composé de spécialistes maîtrisant les langages de modélisation 3D et les subtilités des processus de fabrication additive. Toutefois, depuis une dizaine d’années, un bouleversement majeur a modifié en profondeur ce paysage. L’arrivée sur le marché de modèles d’imprimantes 3D à bas coût, portés par des marques comme Creality, Anycubic ou Elegoo, a permis une diffusion rapide de cette technologie auprès d’un public non spécialisé. Ces appareils, dont certains coûtent désormais moins cher qu’un smartphone de moyenne gamme, sont capables de produire des objets fonctionnels à partir de matériaux variés, tels que le PLA, l’ABS, ou encore le PETG. Leur montée en qualité, combinée à une standardisation des composants mécaniques et électroniques (rails linéaires, cartes-mères silencieuses, capteurs d’auto-nivellement), a transformé des machines autrefois capricieuses en outils fiables et performants.

L’évolution logicielle a suivi une trajectoire similaire. Il y a encore quelques années, préparer un fichier pour l’impression nécessitait une maîtrise technique pointue. Aujourd’hui, des programmes comme Ultimaker Cura, PrusaSlicer ou encore MatterControl permettent de générer un G-code — le langage machine que comprend l’imprimante — en quelques minutes à partir d’un simple fichier STL. Ces logiciels offrent une interface graphique ergonomique, des assistants de configuration automatique, ainsi que des profils d’impression optimisés pour chaque machine et type de filament. De plus, les algorithmes de tranchage (« slicing ») se sont améliorés pour intégrer des supports solubles, des structures internes complexes (infill adaptatif) et des réglages dynamiques de vitesse ou de température selon les zones du modèle, ce qui améliore à la fois la qualité de l’objet imprimé et la fiabilité du processus.

Pour les particuliers, ces avancées techniques ouvrent un champ de possibilités impressionnant. Des hobbyistes conçoivent des pièces de rechange pour des appareils électroménagers, des supports muraux sur mesure, ou encore des objets décoratifs uniques, directement depuis leur domicile. Les plateformes de partage comme Thingiverse, Printables ou MyMiniFactory regorgent de millions de fichiers prêts à imprimer, facilitant la personnalisation et la fabrication à la demande. De plus, l’émergence de communautés en ligne, de tutoriels vidéo et de forums spécialisés réduit les barrières d’entrée, permettant même à des adolescents ou à des retraités de s’initier à la modélisation 3D et à la maintenance basique de leurs machines.

Du côté professionnel, l’usage de l’impression 3D se diversifie considérablement. Dans le secteur de la santé, par exemple, des start-ups développent des implants crâniens sur mesure, tandis que des hôpitaux utilisent la fabrication additive pour produire des guides chirurgicaux personnalisés, réduisant les risques opératoires et la durée des interventions. En architecture, les bureaux d’études modélisent des maquettes de projets complexes à une échelle réduite, permettant une visualisation tangible et interactive du bâti à venir. Dans le secteur industriel, des entreprises comme General Electric ou Siemens impriment désormais certaines pièces fonctionnelles en métal grâce à la fusion laser sur lit de poudre, une technologie apparentée mais plus avancée que l’impression plastique classique. Cette méthode permet de produire des composants très complexes, souvent impossibles à réaliser par usinage traditionnel, tout en optimisant leur masse, leur résistance et leur efficacité thermique.

Il convient également de souligner l’impact environnemental potentiel de cette évolution. En permettant la production locale d’objets sur demande, l’impression 3D contribue à limiter les transports internationaux, à réduire les surplus de production, et à encourager l’économie circulaire. Des entreprises développent même des filaments recyclés à partir de déchets plastiques, intégrant ainsi une dimension écologique à cette technologie.

Historiquement, on peut comparer cette transition à celle qu’a connue l’informatique personnelle dans les années 1980 et 1990. Ce qui était autrefois un domaine réservé à des ingénieurs est devenu un outil domestique central. De la même manière, l’imprimante 3D passe aujourd’hui du statut de curiosité technologique à celui d’appareil utilitaire polyvalent. Elle s’intègre progressivement dans le quotidien, comme un outil de création, de réparation, d’expérimentation et même de production semi-professionnelle.

En définitive, les conditions actuelles – techniques, économiques, éducatives et logicielles – convergent pour rendre l’achat d’une imprimante 3D non seulement accessible, mais aussi stratégiquement pertinent pour une multitude de profils d’utilisateurs. Que ce soit dans une optique ludique, éducative, professionnelle ou entrepreneuriale, la fabrication additive personnelle n’est plus une niche, mais un prolongement naturel de notre manière d’interagir avec le monde matériel.



Acheter une imprimante 3D exige de comprendre les matériaux utilisés.

Dans le domaine de l'impression 3D, le matériau utilisé est l’un des facteurs les plus déterminants dans la réussite d’un projet. Chaque polymère possède des propriétés physiques, mécaniques et chimiques uniques qui le rendent plus ou moins adapté à certaines applications. Il est donc impératif d'adapter le choix du filament ou de la résine en fonction non seulement du rendu souhaité, mais aussi du type de contraintes – thermiques, mécaniques, esthétiques ou environnementales – auxquelles la pièce finale sera exposée.

Le PLA (acide polylactique) est probablement le matériau le plus couramment utilisé en impression 3D, notamment par les débutants et les amateurs. Issu de ressources renouvelables comme l’amidon de maïs ou la canne à sucre, il est biodégradable dans des conditions industrielles, ce qui en fait un choix populaire pour les objets du quotidien, les jouets, les prototypes visuels ou les décorations. Sa température d’extrusion relativement basse (environ 180 à 220 °C), combinée à l’absence de besoin en plateau chauffant, en fait un matériau très facile à imprimer. Cependant, sa faible résistance à la chaleur – il commence à se déformer dès 60 °C – et sa fragilité le rendent inadapté aux usages fonctionnels ou mécaniques. Il est, par exemple, peu recommandé pour des pièces soumises à des frottements, des chocs répétés ou une exposition prolongée au soleil.



À l’opposé, l’ABS (acrylonitrile butadiène styrène) est un thermoplastique utilisé de longue date dans l’industrie, notamment dans les jouets LEGO ou les boîtiers électroniques. Plus résistant que le PLA, il supporte mieux les contraintes mécaniques et les températures élevées (jusqu’à 100 °C), ce qui le rend idéal pour des pièces techniques, des composants structurels ou des prototypes destinés à être testés en conditions réelles. Néanmoins, l’ABS est difficile à imprimer : il se rétracte fortement en refroidissant, ce qui peut provoquer un phénomène de warping (gondolage), surtout en l’absence d’un caisson fermé maintenant une température ambiante stable. De plus, ses vapeurs peuvent être irritantes et nécessitent une bonne ventilation de l’espace d’impression.

Le PETG (polyéthylène téréphtalate glycolisé) se situe entre le PLA et l’ABS, réunissant plusieurs de leurs avantages sans hériter de leurs défauts les plus problématiques. Il est à la fois solide, flexible et résistant aux produits chimiques et à l’humidité. Cette combinaison de propriétés en fait un choix judicieux pour des pièces mécaniques soumises à des contraintes modérées, comme des supports, des boîtiers, ou des objets devant résister à l’eau ou à des environnements extérieurs. Contrairement à l’ABS, il se déforme peu à l’impression et ne produit pas d’émanations nocives. Il est donc souvent utilisé dans le secteur de la fabrication de pièces fonctionnelles à usage domestique ou industriel léger.

Les résines liquides utilisées dans les imprimantes SLA (stéréolithographie) ou DLP (Digital Light Processing) offrent un niveau de détail nettement supérieur à celui des matériaux FDM (dépôt de fil fondu). Grâce à une polymérisation couche par couche induite par la lumière (généralement UV), les résines permettent d’obtenir des surfaces extrêmement lisses et des géométries complexes, parfois impossibles à reproduire avec des filaments. Ce niveau de précision est particulièrement prisé dans les domaines de la joaillerie, de la dentisterie, ou de la modélisation de figurines. En revanche, ces résines sont souvent plus cassantes que les plastiques extrudés, et leur post-traitement – incluant un rinçage à l’alcool isopropylique et un durcissement sous UV – les rend plus exigeantes en termes de manipulation. Il existe néanmoins aujourd’hui des résines techniques, comme les résines flexibles, résistantes aux chocs, ou à haute température, qui élargissent leur champ d’application au-delà du simple prototypage esthétique.

Le nylon, ou polyamide, représente quant à lui un matériau de choix pour des applications industrielles avancées. Utilisé depuis longtemps dans l’industrie textile et mécanique, il est reconnu pour sa solidité, sa résistance à l’abrasion et sa flexibilité. En impression 3D, il est souvent utilisé pour des engrenages, des fixations ou des charnières, notamment lorsqu’une certaine souplesse ou une résistance à la fatigue est requise. Toutefois, le nylon est très hygroscopique – il absorbe l’humidité de l’air – ce qui peut altérer considérablement ses qualités d’impression si le filament n’est pas parfaitement sec. Il nécessite également des températures d’extrusion élevées (environ 250 °C) et un plateau chauffant pour éviter les déformations.

Le choix du matériau dépend donc étroitement du type d’imprimante utilisée. Les imprimantes FDM (les plus courantes) acceptent facilement le PLA, le PETG et parfois l’ABS ou le nylon, sous réserve de caractéristiques techniques adéquates (buse, plateau, caisson). Les imprimantes SLA ou DLP, quant à elles, utilisent exclusivement des résines liquides. Les technologies industrielles comme le SLS (frittage sélectif par laser) permettent quant à elles d’imprimer directement en nylon ou en composites techniques, mais elles sont bien plus onéreuses et réservées à des usages professionnels.

Enfin, la finalité de l’impression est tout aussi décisive : un designer graphique imprimera probablement en PLA pour obtenir un rendu visuel rapide, tandis qu’un ingénieur concevant une pièce de machine optera pour du nylon ou du PETG. Un dentiste ou un bijoutier aura quant à lui recours à des résines spécifiques offrant une précision microscopique. Le matériau devient ainsi un vecteur de spécialisation, révélateur de l’intention derrière l’impression. Il ne s’agit donc pas d’un choix accessoire, mais d’une décision centrale, conditionnant non seulement la réussite technique, mais aussi la pertinence et la durabilité de l’objet imprimé.


Acheter une imprimante 3d
Acheter une imprimante 3d

Acheter une imprimante 3D, c’est aussi penser à l’après-achat.

Maintenance, calibration, remplacement des buses, mise à jour du firmware : posséder une imprimante 3D nécessite un engagement technique minimum.

Où acheter une imprimante 3D fiable et garantie ?

Il est préférable de passer par des revendeurs spécialisés ou des plateformes reconnues, afin de bénéficier d’un service après-vente solide et de garanties prolongées.

Acheter une imprimante 3D vous ouvre un champ infini d’applications.

Du prototypage rapide à la réparation domestique, de l’éducation à l’artisanat, cette technologie bouleverse la manière dont nous concevons et fabriquons les objets du quotidien.

Comparatif technique pour bien acheter une imprimante 3D.

Modèle

Technologie

Volume d’impression

Résolution

Prix indicatif

Idéal pour

Creality Ender 3 V2

FDM

220 x 220 x 250 mm

100 µm

250 €

Débutants, makers

Anycubic Photon Mono X

SLA

192 x 120 x 245 mm

50 µm

400 €

Figurines, précision

Prusa i3 MK4

FDM

250 x 210 x 220 mm

50 µm

899 €

Prototypage avancé

Bambu Lab X1 Carbon

FDM

256 x 256 x 256 mm

20 µm

1 200 €

Haute performance

Formlabs Form 3

SLA

145 x 145 x 185 mm

25 µm

3 300 €

Design industriel, dentaire

Acheter une imprimante 3D : quelles spécificités techniques prioriser.

Le volume d'impression : critère déterminant quand on veut acheter une imprimante 3D.



Il détermine la taille maximale de vos objets. Plus le volume est grand, plus les possibilités de projets sont vastes — mais cela implique aussi un coût plus élevé.

Acheter une imprimante 3D selon sa résolution et sa précision.

La qualité des couches imprimées dépend de la hauteur de couche minimale. Une machine capable de descendre à 20 microns produira des objets plus détaillés.

Acheter une imprimante 3D implique de choisir entre extrudeur direct ou Bowden.

Les deux systèmes influencent la fluidité du filament, la précision et les matériaux compatibles. Le direct drive est souvent préféré pour le TPU, un filament flexible.

L’importance du lit chauffant quand on cherche à acheter une imprimante 3D.

Il permet une meilleure adhésion de la première couche et réduit les risques de warping (déformation). Indispensable pour les filaments comme l’ABS.

Acheter une imprimante 3D nécessite de regarder la connectivité.

Wi-Fi, USB, carte SD, Cloud : chaque mode de transfert peut impacter votre flux de production. Les machines connectées offrent plus de liberté et de contrôle à distance.

Acheter une imprimante 3D en tenant compte du bruit et de l’environnement.

Certaines machines sont très silencieuses, d’autres non. Si vous imprimez chez vous, c’est un critère à ne pas négliger, tout comme l’odeur des résines ou des plastiques.

Le firmware : un aspect sous-estimé lorsqu'on veut acheter une imprimante 3D.

Certaines imprimantes acceptent des firmwares open source comme Marlin, permettant des personnalisations poussées. D'autres sont plus fermées mais sécurisées.

Acheter une imprimante 3D selon la compatibilité des logiciels.

Assurez-vous que votre imprimante est compatible avec des slicers populaires comme Cura, PrusaSlicer, Lychee ou Chitubox selon le type d’imprimante.

Penser à l’évolution future de votre matériel avant d’acheter une imprimante 3D.

Des modèles évolutifs permettent d’ajouter un second extrudeur, un capteur de nivellement automatique, ou même une caméra de surveillance d'impression.

Acheter une imprimante 3D avec capteurs intégrés pour plus de sécurité.

Détection de fin de filament, reprise après coupure de courant, capteurs thermiques… ces options sont aujourd’hui accessibles sur des modèles milieu de gamme.

Acheter une imprimante 3D pour le prototypage rapide ou les loisirs créatifs.

Pourquoi acheter une imprimante 3D est un atout pour les start-ups.

Les entrepreneurs peuvent tester rapidement des concepts, itérer à faible coût, et présenter des maquettes réalistes à leurs investisseurs.

Acheter une imprimante 3D pour les passionnés de DIY et de modélisme.

Création de pièces personnalisées, réparation d’objets cassés, impression de figurines ou d’accessoires sur mesure : les possibilités sont infinies.

Acheter une imprimante 3D : synthèse des avantages selon le profil utilisateur.

Profil utilisateur

Objectif principal

Modèle recommandé

Budget conseillé

Étudiant ou bricoleur

Apprentissage, petit projet

Ender 3 V2

< 300 €

Designer ou architecte

Détail visuel, maquette

Anycubic Photon Mono X

400 – 600 €

Artisan ou maker confirmé

Personnalisation, production

Prusa i3 MK4

800 – 1 000 €

PME ou startup tech

Prototypage, fiabilité

Bambu Lab X1 Carbon

1 000 – 1 500 €

Secteur médical/dentaire

Précision extrême

Formlabs Form 3

> 3 000 €

Acheter une imprimante 3D : un investissement stratégique pour demain.



Acheter une imprimante 3D, c’est prendre part à une révolution industrielle.

L’impression 3D n’est plus un gadget mais un outil stratégique dans de nombreux secteurs, de l’aérospatiale à la mode.

Acheter une imprimante 3D pour réduire les coûts de fabrication.

En produisant en interne, les entreprises limitent les sous-traitants, les transports et les délais.

Acheter une imprimante 3D peut être un vecteur d’innovation sociale.

Prothèses imprimées localement, pièces de rechange dans des zones isolées, outils pour l’éducation : les impacts sociétaux sont majeurs.

Entrez dans l’Ère de la Fabrication Additive : La Formation LV3D, un Accès Privilégié à l’Univers de l’Impression 3D.

La fabrication additive, plus communément appelée impression 3D, s’impose aujourd’hui comme l’une des innovations technologiques les plus marquantes de notre époque. Elle bouleverse les codes de la production en série, du prototypage et même de l’artisanat. Dans un monde en perpétuelle évolution, où l’agilité et la personnalisation deviennent des critères fondamentaux, la maîtrise des technologies d’impression 3D est désormais un atout stratégique, aussi bien pour les entreprises que pour les particuliers. Savoir concevoir un objet en 3D, le modéliser avec précision, le produire grâce à une machine 3D performante et choisir le filament 3D le plus adapté à son usage, constitue une compétence de plus en plus recherchée sur le marché du travail, dans les milieux créatifs, techniques ou industriels.

Pourquoi Suivre une Formation en Imprimante 3D ? L’Excellence de la Pédagogie Signée LV3D. Cette question mérite toute votre attention si vous envisagez de vous former à une technologie d’avenir. La réponse se trouve dans l’approche pédagogique unique développée par LV3D. Contrairement à une simple initiation théorique, les formations proposées par ce centre vont bien plus loin : elles permettent une véritable immersion dans la galaxie 3D. Vous y apprendrez à comprendre les mécanismes de l’impression 3D, à paramétrer une machine 3D selon des critères techniques précis, à expérimenter différents types de filaments (PLA, ABS, PETG, TPU, etc.), à modéliser des objets via des logiciels adaptés et à mener un projet de fabrication de A à Z, le tout accompagné par des experts du domaine.

LV3D ne propose pas une formation standardisée, mais une expérience formatrice sur mesure, pensée pour s’adapter aux besoins de chaque participant. Que vous soyez débutant ou utilisateur confirmé, chaque module est conçu pour renforcer vos acquis, élargir vos connaissances et développer vos compétences pratiques. La pédagogie repose sur des mises en situation concrètes, des ateliers de prototypage, des cas d’usage réels et un accompagnement individualisé. Vous êtes guidé tout au long du processus par des formateurs passionnés, dotés d’une solide expérience dans le domaine de l’impression 3D, qui partagent leur savoir-faire avec clarté, enthousiasme et exigence.

En intégrant la formation LV3D, vous entrez dans un écosystème innovant, riche en échanges et en opportunités. Vous découvrirez la puissance de la galaxie 3D, un environnement où se croisent créativité, rigueur technique et esprit d’innovation. Vous apprendrez à transformer vos idées en objets tangibles, à explorer des matériaux avancés, à optimiser les paramètres d’impression, et surtout à exploiter pleinement le potentiel de votre imprimante 3D. Cette démarche ne se limite pas à l’apprentissage d’un outil : elle vise à vous donner une autonomie réelle, capable de faire émerger de nouvelles idées, de nouveaux projets, et pourquoi pas, de nouvelles vocations.

Rejoindre une formation LV3D, c’est faire le choix de l’excellence. C’est investir dans votre avenir professionnel, dans votre capacité à innover, à créer et à produire autrement. C’est intégrer une vision moderne et ambitieuse de la fabrication, et faire de la technologie 3D un véritable levier d’action, de transformation et de réussite. Grâce à LV3D, l’impression 3D n’est plus une compétence réservée à une élite technologique : elle devient accessible, compréhensible, et surtout, maîtrisable.

Yacine Anouar

 
 
 

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