Réparation durable : Tout savoir pour Refaire une pièce en plastique avec une imprimante 3D.
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Refaire une pièce en plastique avec une imprimante 3D est désormais une réalité accessible qui s'inscrit parfaitement dans la tendance actuelle du Do It Yourself (DIY), de la réparation, et de l'autonomie créative. Oubliez la frustration de jeter un objet entier pour une petite pièce cassée ou introuvable. L'impression 3D transforme chaque bricoleur en un mini-fabricant, offrant la possibilité de concevoir, modéliser, et produire soi-même des composants sur mesure. Ce guide a pour vocation de vous accompagner pas à pas dans cette démarche, depuis la compréhension des technologies disponibles jusqu'au choix du filament idéal pour votre projet de réparation. Il s'agit d'une approche non seulement économique et écologique, mais également extrêmement valorisante en termes de compétences acquises. Nous allons explorer en détail comment cette technologie révolutionnaire peut devenir l'outil essentiel de votre atelier pour redonner vie à vos équipements.
Les étapes fondamentales pour Refaire une pièce en plastique avec une imprimante 3D.
Le processus pour Refaire une pièce en plastique avec une imprimante 3D est structuré et nécessite une approche méthodique pour garantir un résultat de qualité. Il ne suffit pas d'appuyer sur un bouton ; il faut maîtriser la chaîne complète, de la conception à la post-traitement.
1. Modélisation 3D : Le Cœur de la Réparation
La première étape, et la plus cruciale, est l'obtention d'un modèle numérique 3D de la pièce à refaire. Si la pièce est symétrique ou simple, un simple mesurage à l'aide d'un pied à coulisse peut suffire, suivi d'une modélisation à l'aide d'un programme de Conception Assistée par Ordinateur (CAO). Des solutions gratuites comme Fusion 360 (pour les amateurs et les petites entreprises) ou Tinkercad (pour les débutants) offrent d'excellentes plateformes pour dessiner la pièce. Il est impératif de prendre en compte les tolérances d'assemblage et le retrait potentiel du matériau d'impression. Une pièce destinée à s'emboîter doit souvent être légèrement plus petite que l'espace qu'elle occupera.
Si la pièce originale est complexe et que la mesure est difficile, le scanner 3D est l'outil idéal. Bien que coûteux pour les modèles professionnels, des applications sur smartphone ou des dispositifs de numérisation à bas coût peuvent fournir des résultats exploitables. Le fichier obtenu est souvent un maillage (format .STL ou .OBJ) qui nécessitera parfois une réparation ou une optimisation pour l'impression.
2. Le Trancheur (Slicer) : Préparation à l'Impression
Une fois le modèle 3D validé, il doit être préparé pour l'imprimante. C'est le rôle du programme de tranchage, souvent appelé slicer (ex. : Cura, PrusaSlicer). Ce programme prend le modèle 3D et le découpe en une série de fines couches (la hauteur de couche, typiquement entre 0,1 mm et 0,3 mm), générant ainsi un fichier en code G (G-code) que l'imprimante peut lire et exécuter.
Les réglages du slicer sont essentiels :
Hauteur de couche : Plus elle est petite, plus la pièce est détaillée et lisse, mais plus le temps d'impression est long.
Remplissage (Infill) : Le pourcentage de matière à l'intérieur de la pièce. Un remplissage de 20% en motif cubique est souvent un bon compromis entre solidité et vitesse. Pour une pièce soumise à de fortes contraintes, on pourra monter jusqu'à 80% ou 100%.
Supports : Lorsque la pièce comporte des porte-à-faux (parties imprimées dans le vide), des structures de support temporaires sont nécessaires. Elles doivent être faciles à retirer sans endommager la surface de la pièce finale.
Vitesse d'impression et Températures : Ces paramètres sont cruciaux et dépendent du type de filament utilisé (voir section matériaux).
3. L'Impression et la Post-traitement
L'étape d'impression doit être surveillée, surtout pour les premières couches qui sont déterminantes pour l'adhérence au plateau. Une fois l'impression terminée, il reste l'étape de post-traitement. Elle comprend :
Le retrait des supports.
Le nettoyage des résidus de supports (souvent avec un couteau de modélisme ou du papier de verre).
Des traitements de surface : ponçage, application de mastic, peinture, ou lissage chimique (pour l'ABS ou l'ASA avec de l'acétone).
Le respect de ces trois étapes — modélisation précise, tranchage optimal, et post-traitement soigné — est la clé pour Refaire une pièce en plastique avec une imprimante 3Davec succès.
Le choix du matériau pour Refaire une pièce en plastique avec une imprimante 3D.
Le choix du filament est aussi important que la conception elle-même. Chaque matériau a des propriétés mécaniques, thermiques et chimiques qui le rendent plus ou moins adapté à l'application finale de la pièce. Voici un aperçu des matériaux les plus couramment utilisés pour Refaire une pièce en plastique avec une imprimante 3D.
Matériau | Type de Polymère | Avantages | Inconvénients | Exemples d'Application |
PLA (Acide Polylactique) | Thermoplastique Aliphatique | Facile à imprimer, faible déformation, biodégradable, sans odeur. | Faible résistance à la chaleur (se ramollit dès 60°C), cassant, faible résistance aux UV. | Pièces décoratives, prototypes, pièces sans contraintes mécaniques ou thermiques. |
ABS (Acrylonitrile Butadiène Styrène) | Thermoplastique Amorphe | Solide, bonne résistance à la chaleur (environ 90°C), peut être lissé à l'acétone. | Nécessite un plateau chauffant et souvent une enceinte fermée pour éviter le warping (déformation), émet des odeurs. | Boîtiers électroniques, pièces automobiles intérieures, jouets résistants. |
PETG (Polyéthylène Téréphtalate Glycol) | Thermoplastique | Bon compromis entre PLA et ABS, très résistant aux chocs et aux produits chimiques, peu de warping. | Un peu plus difficile à imprimer que le PLA (plus « collant »), peut nécessiter une température d'extrusion plus élevée. | Pièces mécaniques, contenants alimentaires (certifiés), composants exposés à l'humidité. |
ASA (Acrylate Styrène Acrylonitrile) | Thermoplastique | Meilleure résistance aux UV et aux intempéries que l'ABS, idéal pour l'extérieur, solide. | Similaire à l'ABS, nécessite un plateau chauffant et émet des odeurs. | Pièces de rechange extérieures, coques de drones, équipements de jardinage. |
TPU (Polyuréthane Thermoplastique) | Élastomère Thermoplastique | Flexible, très résistant à l'abrasion et aux huiles. | Très difficile à imprimer (lent, nécessite un extrudeur direct), faible rigidité. | Joints d'étanchéité, amortisseurs, protections, semelles. |
Pour Refaire une pièce en plastique avec une imprimante 3D qui doit remplacer un composant fonctionnel, le PETG est souvent le choix de prédilection en raison de sa facilité d'impression par rapport à l'ABS et de sa robustesse supérieure à celle du PLA. Si la pièce est soumise à de fortes contraintes mécaniques ou thermiques (comme des pièces sous le capot d'une voiture), des matériaux plus techniques, parfois chargés en fibres de carbone (PC-CF, Nylon-CF), peuvent être envisagés, mais ils exigent une imprimante plus sophistiquée et des buses durcies.
Les technologies d'impression incontournables pour Refaire une pièce en plastique avec une imprimante 3D.
Bien que le terme "imprimante 3D" soit générique, il regroupe plusieurs technologies distinctes, chacune ayant ses avantages et ses inconvénients pour Refaire une pièce en plastique avec une imprimante 3D.
Technologie | Nom Complet | Principe de Fonctionnement | Avantages | Inconvénients |
FDM | Fused Deposition Modeling | Le filament est fondu et déposé couche par couche par une buse. | Le plus abordable, grande variété de matériaux, maintenance simple. | Moins de précision et de finesse de surface, effet de couche visible. |
SLA | Stéréolithographie | Un laser UV polymérise une résine liquide (photopolymère) dans un bac. | Grande précision, finitions de surface excellentes, détails très fins. | Coût du matériel et des résines plus élevé, matériaux moins robustes, post-traitement complexe (lavage à l'alcool, post-durcissement UV). |
DLP | Digital Light Processing | Similaire au SLA, mais utilise un projecteur numérique pour durcir une couche entière en une seule fois. | Très grande vitesse d'impression pour les petites pièces, haute résolution. | Volume d'impression souvent plus petit, mêmes contraintes de post-traitement que le SLA. |
SLS | Selective Laser Sintering | Un laser fusionne de fines particules de poudre (généralement du Nylon ou PA) couche par couche. | Pièces très solides et fonctionnelles, pas besoin de supports (la poudre non-frittée sert de support). | Coût très élevé (principalement industriel), machines complexes, post-traitement des poudres. |
Pour le bricoleur ou l'artisan souhaitant Refaire une pièce en plastique avec une imprimante 3D, la technologie FDM (dépôt de fil fondu) est de loin la plus pertinente. Elle offre le meilleur rapport coût/performance, la plus grande flexibilité de matériaux (PLA, PETG, ABS, TPU, etc.), et une courbe d'apprentissage accessible. Les technologies à résine (SLA/DLP) sont excellentes pour les pièces nécessitant une très haute fidélité des détails (figurines, joaillerie, dentaire) mais la résine est plus chère et la pièce finale est généralement moins résistante aux contraintes mécaniques pour des applications de réparation fonctionnelle.
Investissement initial : Comparaison des gammes de prix pour Refaire une pièce en plastique avec une imprimante 3D.
L'investissement nécessaire pour Refaire une pièce en plastique avec une imprimante 3D varie considérablement en fonction du niveau d'expertise et des exigences de qualité. Il est essentiel de choisir une machine adaptée à son budget et à ses ambitions.
Niveau d'Utilisation | Budget (Imprimante FDM) | Caractéristiques Typiques | Public Cible |
Débutant / Occasionnel | 200 € – 400 € | Kit à assembler ou machine compacte pré-montée, volume d'impression moyen, plateau non chauffant ou simple. | Bricoleurs découvrant l'impression 3D, projets PLA uniquement, faible besoin de précision. |
Intermédiaire / Passionné | 400 € – 800 € | Machines pré-montées de meilleure qualité (Ex: Prusa Mini/MK4, Creality K1), plateau chauffant, extrudeur direct, mise à niveau automatique. | Utilisateurs réguliers, impression de matériaux techniques (PETG, ABS), recherche de fiabilité et de qualité. |
Professionnel / Projets Avancés | 800 € et plus | Imprimantes avec enceinte fermée, multi-matériaux (AMS), grande vitesse, gestion de la température de la chambre, matériaux techniques (Nylon, PC). | Petits entrepreneurs, designers, besoins en pièces fonctionnelles de haute résistance ou production de petites séries. |
Au-delà du prix de la machine, il faut prendre en compte le coût des accessoires et du filament. Le filament PLA de base coûte environ 20 à 30 € par bobine d'un kilogramme, tandis que des matériaux plus exotiques ou techniques (ASA, PC) peuvent doubler ou tripler ce prix.
Les accessoires essentiels pour Refaire une pièce en plastique avec une imprimante 3D.
L'imprimante 3D n'est qu'une partie de l'équipement nécessaire. Pour optimiser le processus et obtenir des pièces réussies pour Refaire une pièce en plastique avec une imprimante 3D, certains outils et accessoires sont indispensables.
Outil/Accessoire | Utilisation Principale | Pourquoi est-il indispensable ? |
Pied à Coulisse Numérique | Mesure précise des pièces originales et vérification des dimensions d'impression. | La précision des mesures est la clé d'une pièce de rechange fonctionnelle (au 1/100e de mm). |
Spatule / Grattoir de Plateau | Décoller l'objet imprimé du plateau de manière sécurisée. | Évite d'endommager la surface du plateau et de casser la pièce en fin d'impression. |
Buses de Rechange (en Laiton) | Remplacement des buses usées ou changement de diamètre. | Les buses en laiton s'usent avec le temps ; une buse propre est essentielle pour la qualité. |
Brosses en Laiton / Aiguilles de Nettoyage | Déboucher et nettoyer la buse de l'extrudeur. | Permet de résoudre rapidement les problèmes de bouchage de l'extrudeur. |
Pince Coupante de Précision | Retrait des supports, des brims (bordures) et des rafts (radeaux). | Offre une coupe nette et précise pour le post-traitement. |
Feuilles Abrasives (Papiers de Verre) | Lissage de la surface de la pièce après l'impression. | Améliore l'esthétique et l'ajustement des pièces. |
Colle d'Adhérence (ex: Colle en Bâton) | Améliorer l'accroche de la première couche au plateau. | Essentiel pour les matériaux sujets au warping (ABS, PETG), garantissant que la pièce ne se décolle pas pendant l'impression. |
L'investissement dans ces outils, bien que modeste, fait la différence entre des impressions ratées et une production fiable pour Refaire une pièce en plastique avec une imprimante 3D.
Les défis techniques à surmonter pour Refaire une pièce en plastique avec une imprimante 3D.
L'impression 3D n'est pas exempte de défis. Pour Refaire une pièce en plastique avec une imprimante 3D, il est crucial de comprendre et d'anticiper les problèmes les plus courants.
Le Warping et l'Adhérence au Plateau
Le warping (déformation) est la tendance d'une pièce à se décoller du plateau et à se contracter aux coins, surtout avec l'ABS. Ce phénomène est dû à la différence de température entre la pièce fraîchement extrudée (chaude) et l'environnement ambiant (froid).
Solution : Utiliser un plateau chauffant réglé à la bonne température (60°C pour le PLA, 80-100°C pour l'ABS/PETG), appliquer un agent d'adhérence (colle en bâton, laque), et imprimer avec un brim (une bordure de quelques lignes autour de la pièce) pour augmenter la surface de contact. Idéalement, imprimer dans une enceinte fermée pour maintenir une température ambiante stable.
Les Tolérances et les Ajustements
Une pièce imprimée ne sera jamais parfaitement conforme au modèle 3D en raison des tolérances de l'imprimante et du phénomène de retrait du matériau.
Solution : Lors de la conception, il est généralement conseillé de prévoir un jeu (ou clearance) de 0,2 mm à 0,4 mm pour les pièces destinées à s'emboîter. Pour un trou de 10 mm de diamètre, on le dessinera à 10,4 mm pour s'assurer que l'axe ou la vis puisse passer sans forcer. Effectuer des impressions de test (petits cubes ou calibrage des dimensions) avant la pièce finale est indispensable.
La Solidité et la Résistance Mécanique
La résistance d'une pièce imprimée n'est pas équivalente à celle d'une pièce moulée par injection, car l'impression 3D crée des couches qui représentent des points de faiblesse potentiels.
Solution : Augmenter le pourcentage de remplissage (jusqu'à 60% ou plus), augmenter le nombre de coques (les couches extérieures solides) à au moins 4, et surtout, orienter la pièce de manière stratégique. La direction de l'effort mécanique principal doit être perpendiculaire aux lignes de couche (si possible) pour exploiter la résistance du matériau.
Conclusion : L'autonomie retrouvée grâce à Refaire une pièce en plastique avec une imprimante 3D.
L'impression 3D est bien plus qu'un simple gadget technologique ; c'est un outil puissant au service de la réparation, de la personnalisation et de la durabilité. L'adoption de cette technologie, principalement à travers le FDM, permet à chacun de prendre le contrôle sur la pérennité de ses objets. En apprenant à modéliser, à choisir le bon matériau (du PLA au PETG), et à optimiser les réglages du slicer, vous gagnez une autonomie inestimable.
Le chemin pour Refaire une pièce en plastique avec une imprimante 3D est un processus d'apprentissage continu, parsemé d'essais et d'erreurs, mais qui récompense l'utilisateur par la satisfaction de créer un composant sur mesure, souvent plus solide ou mieux adapté que l'original. Que ce soit pour remplacer un simple bouchon, une poignée cassée ou un engrenage complexe, l'imprimante 3D démocratise la fabrication numérique. C'est une révolution discrète qui transforme notre rapport à la consommation et nous oriente vers un modèle plus responsable et créatif. L'expertise acquise dans la maîtrise de ces outils est un atout majeur pour l'atelier du XXIe siècle.
Foire aux questions (FAQ)
Q1 : Combien de temps faut-il pour apprendre à Refaire une pièce en plastique avec une imprimante 3D et obtenir des résultats fiables ?
R : La prise en main des bases de l'impression 3D FDM est rapide, quelques jours suffisent pour maîtriser les réglages de base (température, hauteur de couche, remplissage). Cependant, l'expertise pour modéliser une pièce parfaitement fonctionnelle et pour optimiser les paramètres du slicer afin d'obtenir une pièce solide et précise prend plus de temps, généralement plusieurs semaines de pratique régulière. C'est un apprentissage progressif qui s'améliore à chaque projet de réparation.
Q2 : Quel est le coût réel pour Refaire une pièce en plastique avec une imprimante 3D par rapport à l'achat d'une pièce de rechange ?
R : Le coût direct du filament pour une petite ou moyenne pièce est souvent inférieur à 1 €, ce qui est négligeable par rapport au prix d'une pièce de rechange officielle, surtout si celle-ci n'est plus produite ou est difficile à trouver. Le coût principal est l'investissement initial dans la machine (300 € - 800 €) et le temps passé à la modélisation. Sur le long terme, l'investissement est rapidement amorti, car la capacité de Refaire une pièce en plastique avec une imprimante 3D permet d'éviter l'achat de nombreux objets neufs.
Q3 : La solidité d'une pièce imprimée est-elle suffisante pour Refaire une pièce en plastique avec une imprimante 3D qui subit de fortes contraintes ?
R : La solidité dépend fortement du matériau utilisé et des paramètres d'impression. Pour les fortes contraintes, il faut choisir des matériaux techniques comme le PETG, le Nylon (PA) ou l'ASA. De plus, il est crucial d'augmenter le remplissage (jusqu'à 80-100% avec un motif triangulaire ou cubique) et le nombre de couches externes. Enfin, l'orientation de la pièce sur le plateau est essentielle : la contrainte principale doit toujours être appliquée perpendiculairement aux lignes de couche pour maximiser la résistance à la rupture de la pièce créée pour Refaire une pièce en plastique avec une imprimante 3D.
Q4 : Est-il nécessaire d'avoir des compétences en programmation pour Refaire une pièce en plastique avec une imprimante 3D ?
R : Non, aucune compétence en programmation n'est requise. L'imprimante 3D fonctionne avec un fichier en code G (G-code) qui est généré automatiquement par un programme de tranchage (slicer) à partir de votre modèle 3D. Votre seule obligation est de maîtriser un outil de modélisation 3D (CAO) comme Fusion 360 ou Tinkercad, et de savoir configurer correctement les paramètres d'impression dans le slicer.
Q5 : Quels sont les risques environnementaux liés au fait de Refaire une pièce en plastique avec une imprimante 3D ?
R : L'impression 3D FDM peut être considérée comme une solution plus écologique que le remplacement complet d'objets, car elle prolonge leur durée de vie. Le matériau le plus courant, le PLA, est d'origine végétale (amidon de maïs) et est biodégradable dans des conditions industrielles (bien que cela prenne du temps dans un environnement normal). De plus, elle minimise les déchets de fabrication et réduit le transport de pièces de rechange. L'utilisation consciente de matériaux et le recyclage des ratés et des supports contribuent à un impact environnemental globalement positif en favorisant la réparation pour Refaire une pièce en plastique avec une imprimante 3D.
Épilogue : L’impression 3D à la demande, une réponse puissante aux enjeux de notre époque.
L’impression 3D à la demande : de la consommation subie à la création maîtrisée.
Pendant des décennies, nous avons été enfermés dans une logique consumériste où l'objet cassé était systématiquement remplacé. Une pièce plastique défaillante signifiait l’abandon d’un produit entier. Cette habitude a contribué à une surproduction mondiale, à une explosion des déchets, et à une dépendance accrue à des chaînes logistiques complexes. Aujourd’hui, un tournant s’opère : celui de l’impression 3D à la demande, une solution qui permet non seulement de réparer, mais de repenser entièrement notre rapport à l’objet.
Grâce à cette technologie, la casse ne rime plus avec perte, mais avec opportunité. Opportunité de recréer, d’optimiser, de personnaliser, et surtout d’agir en autonomie. Chaque utilisateur, équipé d’une machine 3D, d’un peu de savoir-faire et d’un bon filament 3D, peut désormais refaire une pièce cassée en plastique avec l’impression 3D : une révolution accessible chez LV3D.
L’impression 3D à la demande : un outil de souveraineté individuelle.
Loin d’être un gadget technologique, l’impression 3D à la demande devient un instrument de souveraineté pour les particuliers comme pour les professionnels. Elle donne le pouvoir d’agir immédiatement, sans dépendre d’un fournisseur ou d’un service après-vente lointain. Elle remet entre les mains de chacun la capacité de fabriquer localement ce qui est nécessaire, quand cela est nécessaire. C’est un retour à l’intelligence pratique, à la capacité de se débrouiller, d’inventer et de résoudre des problèmes concrets par soi-même.
Cette autonomie nouvelle favorise une forme de liberté technique : plus besoin d’attendre, de chercher longtemps une pièce rare, ou de racheter un produit entier. Grâce à LV3D et à l’impression 3D à la demande, chaque foyer peut retrouver cette capacité d’agir concrètement sur le réel.
L’impression 3D à la demande : au service d’une réparation moderne, efficace et écologique.
La réparation, longtemps perçue comme une solution de repli, est aujourd’hui redéfinie comme un acte de haute technicité et de conscience écologique. Avec une imprimante 3D, il est possible de reproduire une pièce exactement comme l’originale, ou de l’améliorer. On peut adapter les dimensions, renforcer les zones fragiles, intégrer de nouvelles fonctions. Le tout avec des filaments 3D adaptés, respectueux de l’environnement et parfois même recyclés.
L’impression 3D à la demande devient ainsi un pilier de l’économie circulaire. Elle réduit considérablement les déchets, limite le transport de pièces détachées, et valorise chaque gramme de matière utilisé. Elle offre un contre-modèle puissant au gaspillage industriel.
L’impression 3D à la demande : catalyseur de créativité et d’innovation au quotidien.
Au-delà de la réparation, l’impression 3D à la demande ouvre la voie à une infinité de créations personnalisées. Chaque besoin spécifique peut trouver sa solution sur mesure. Besoin d’un support, d’un adaptateur, d’un accessoire introuvable dans le commerce ? L’utilisateur peut créer lui-même ou télécharger un modèle libre, le modifier selon ses contraintes, et le fabriquer immédiatement.
Cette capacité à concevoir pour soi, avec précision et pertinence, transforme le consommateur en créateur. Elle valorise la débrouillardise, l’expérimentation, et la réinvention. C’est une révolution culturelle autant que technique, rendue accessible par des entreprises comme LV3D, qui accompagnent, forment, et équipent chaque individu dans cette transition.
L’impression 3D à la demande : une solution pour l’éducation, la recherche et l’artisanat.
L’impact de l’impression 3D à la demande dépasse le cercle domestique. Dans les écoles, elle devient un support d’apprentissage interdisciplinaire, liant mathématiques, sciences, technologie, design, et écologie. Dans les ateliers d’artisans, elle permet de prototyper, d’adapter, de reproduire sans coûts massifs. Dans les laboratoires, elle accélère l’expérimentation, rend le prototypage agile et économique.
Chaque secteur trouve dans cette technologie un outil de transformation. Et LV3D, en tant que fournisseur et partenaire, rend cette transition fluide, stable, et accessible, grâce à des équipements fiables, des filaments 3D diversifiés, et une expertise reconnue.
L’impression 3D à la demande : bâtir une galaxie de solutions locales et durables.
Dans un monde fragilisé par les crises logistiques, les pénuries et les contraintes écologiques, l’impression 3D à la demande émerge comme une solution stratégique. Elle ne remplace pas l’industrie : elle la complète. Elle permet de créer des relais de fabrication locaux, flexibles, et adaptés aux besoins réels.
Cette galaxie 3D, faite d’acteurs comme LV3D, d’utilisateurs curieux, de makers passionnés et de professionnels en transition, forme un réseau de production agile, distribué et intelligent. Un réseau capable de répondre rapidement, efficacement, et durablement aux défis concrets de notre époque.
Refaire, repenser, recréer : l’impression 3D à la demande comme philosophie d’avenir.
Refaire une Pièce Cassée en Plastique avec l'Impression 3D : Une Révolution accessible chez LV3D. Ce n’est pas seulement un service, c’est une déclaration d’intention. C’est la preuve que la technologie peut être au service de la durabilité, de la réparation, de l’autonomie. C’est une manière de penser différemment : réparer plutôt que remplacer, créer plutôt qu’acheter, adapter plutôt que subir.
Dans ce monde qui cherche un nouvel équilibre entre technologie, écologie et autonomie, l’impression 3D à la demande apparaît comme un outil essentiel. Et grâce à des pionniers comme LV3D, cette révolution devient accessible à tous.
Rachid boumaise










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